Album d'images
Après la lecture, place aux images, toujours dans un climat fantastique cher au présent site.
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Images du Cosmos
C'est fou ce qu'on peut s'amuser et émoustiller son imagination en promenant son regard dans un environnement immédiat, à priori banal... Et découvrir l'infiniment grand dans l'infiniment petit. On n'est pas loin de Blaise Pascal ou de la physique quantique! La série d'images que vous allez voir représente des détails de vieilles planches en bois, photographiés de très près, puis colorisés à l'ordinateur. Une bidouille que j'affectionne agrémentée de légendes fantaisistes, nous autorise à voyager loin, très loin dans le cosmos et l'imaginaire... (copyright Jean-Michel Cagnon, Avril 2017)
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Littoral à Fréjus (octobre 2016)
Cet album est destiné à témoigner une fois de plus de ma fascination devant le spectacle de la mer. La nature parfois bien cruelle nous accorde paradoxalement des occasions de nous extasier devant la multiplicité des aspects séduisants qu'elle peut arborer. Ceci dans un espace restreint mais sous des météos et des éclairages variés qui donnent à l'élément liquide d'innombrables facettes. La mer a ceci de particulier qu'au-dessus d'un univers abyssal encore mystérieux, elle affiche une apparente simplicité, plate, linéaire, infinie. A sa vue l'on prend conscience de la modeste position de l'être humain chez lequel peuvent coexister des sentiments contradictoires. Comme par exemple ce désir inavoué et enfantin de revivre les premières années de sa vie, au bord de la plage. Et puis par ailleurs l'attirance suggérée par la proximité de l'onde pour les voyages et la découverte d'autres horizons. Coexistence nous l'avons dit, mais pacifique, dans un climat de lâcher prise. Même à l'intérieur des terres, la mer a toujours été présente dans mon existence, comme une tendre amie. (Copyright JM Cagnon Avril 2017)
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Et Puis...
... le temps passant, les images s'accumulent en vrac dans ce fourre-tout que l'on appelle mémoire. Evocations de lieux divers, peu importe qu'on les ait visités ou pas. Si on en garde un souvenir, c'est que ces endroits imprègnent notre sensibilité à jamais. Ils jalonnent notre existence comme des repères sécurisants et nous font croire que la vie et les humains valent tout de même le coup d'être fréquentés. Et puis aussi, reviennent inévitablement des thèmes chers à notre coeur, reflets de notre personnalité, la femme bien sûr, "ni tout à fait la même ni tout à fait une autre", petite amie, mère, épouse selon les heures, les "jardins extraordinaires", les merveilleux chemins de fer d'autrefois, le pays où l'on eut la curieuse idée de naître, la mer (Debussy ou d'ailleurs)... tout ce qui nous rattache aux jours heureux et fugaces, à une enfance assurément magnifiée... cette enfance dont on ne veut pas s'avouer qu'on n'a pas le courage de la quitter. Le jour où on la délaisse, on est vieux !! (Copyright Jean-Michel Cagnon Juin 2017)